dimanche 15 mars 2009

Libertas offre la certitude d'envoyer à Strasbourg des parlementaires dont les votes seront clairs pour refuser l'intégration de Turquie

Les thèmes de cette campagne électorale européenne seront nombreux. Celui des frontières de l’Union Européenne en est un, clivant, entre celles et ceux qui continuent de souhaiter un élargissement de l’Europe incluant la Turquie et les autres rejoints en France par une très large majorité de nos concitoyens qui refusent cette adhésion.
En 2005 ce fut l’une des raisons pour lesquelles j’ai fait campagne contre le traité constitutionnel.

Philippe de Villiers qui fut en 2005 l’un des héraut du NON français tout comme Frédéric Nihous le président de CPNT, ont exprimé avec force leur conviction que ce pays d’Asie, certes respectable, n’avait pas sa place dans l’Union Européenne. On connait la suite, Jacques Chirac alors président de la République fit inscrire dans la constitution française l’obligation de consulter les français par référendum pour tout nouvelle adhésion à l’Europe.

Alors qu’à l’image de Philippe de Villiers et Frédéric Nihous, Nicolas Sarkozy affirmait pendant la campagne présidentielle de 2007 qu’il s’opposerait comme président de la république à l’adhésion de la Turquie à l’UE , l’une des premières mesures de son quinquennat fut aux antipodes de cette affirmation. On se souvient qu’en faisant adopter par le parlement français le traité constitutionnel, rebaptisé traité de Lisbonne, pourtant démocratiquement rejeté par les français, il a fait modifier à nouveau notre constitution française pour supprimer l’obligation de référendum en cas de nouvelle adhésion à l’UE !

Désormais, il n’est plus nécessaire de demander leur avis au français pour faire adhérer la Turquie. Plus grave encore, alors qu’il présidait l’Union Européenne, Nicolas Sarkozy a fait ouvrir huit nouveaux chapitres de discussion pour faire avancer l’entrée de la Turquie, alors que deux seulement étaient ouverts avant sa prise de fonction.

Une accélération des discussions sous présidence Sarkozy de 400% !!!

Les élus de l’UMP ne sont pas clairs sur le sujet de la Turquie.

Oui, sur les estrades, dans les meetings, à la radio et à la télévision ils affirment s’opposer à l’entrée de la Turquie en Europe. Dans les faits, par leurs votes à l’Assemblée Nationale, au Sénat comme au parlement Européen, ces mêmes élus UMP font avancer l’adhésion de la Turquie à l’Europe!

Declan Ganlay le fondateur de Libertas s’est exprimé à de nombreuses reprises pour dénoncer le principe même de l’adhésion. A l’occasion de la conférence de presse du lancement de la campagne des européennes en France le 11 mars 2009 il a réaffirmé cette opposition claire notamment pour des raison de civilisation et de déséquilibre démographique évident .

Philippe de Villiers, Frédéric Nihous et Declan Ganley ont une position identique et claire sur le sujet : Ils sont totalement opposés à l’intégration de la Turquie en Europe, et ils demandent à ce que les peuples de l’Europe soient systématiquement consulté par référendum pour toute nouvelle adhésion à l’Union Européenne.

Pour s’opposer avec certitude à cette perspective d’entrée de la Turquie aux conséquences désastreuses pour nos emplois, notre outil de travail, notre culture, le 7 juin prochain, seules les listes Libertas avec Philippe de Villiers et Frédéric Nihous président de CPNT offrent la certitude d’envoyer à Strasbourg des parlementaires dont les votes seront clairs et cohérents. Non à l’intégration de la Turquie dans l’Union Européenne.

1 commentaire:

  1. Profondément gaulliste, je suis choquée de constater que Nicolas Sarkozy a trompé son électorat sur l'entrée de la Turquie dans l'UE. Mais il ne s'arrête pas là. Après avoir fait voter le Traité de Lisbonne par voie parlementaire, et ce au mépris de la volonté des français, il va réintégrer la France dans le commandement intégré de l'OTAN. Ceci marquera la fin de notre souveraineté nationale et une allégance complète aux Etats-Unis.
    Linette29

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