mardi 15 juillet 2008

Toujours plus gros... où il est question de faire voter à nouveau les Irlandais

Dernière lubie de la présidence Française : trouver les bases d’un nouveau mini traité afin de forcer la main des Irlandais en les faisant voter à nouveau.
Pire que des ayatollahs, les euro béas insistent, ils refusent l’échec de leur dogme et cherchent un moyen de faire voter celles et ceux qui ont refusé cette Europe imposée.
Vivement les échéances européennes que nos concitoyens eux aussi donnent leur avis par un grand coup de pied dans la mare des partis en place. Partis qui défendent un système à bout de souffle... chômage, absence de croissance, délocalisations, immigration incontrôlée, héritage culturel ignoré...

dimanche 6 juillet 2008

Les institutions européennes ont perdu la tête !

!"J’ai dit que nous avions un mandat qui nous a été donné par les démocraties européennes, que ce mandat est la stabilité des prix" a déclaré ce dimanche Jean-Claude Trichet, le gouverneur de la Banque centrale européenne (BCE).
Quel mandat ? Trichet comme tous les autres dirigeants des institutions européens ne sont que des fonctionnaires nommés pour exécuter une politique.
Et fort de quel suffrage ose-t-il prétendre connaitre les choix des peuples ? Il ose déclarer : "Les dernières enquêtes faites par la Commission européenne, en particulier l’Eurobaromètre, montrent que la stabilité des prix est devenue le souci numéro un de nos concitoyens". Allons donc, l’Eurobaromètre remplace la volonté des peuples ?
Nicolas Sarkozy a critiqué, avec raison la remonté du taux directeur de la BCE de 4% à 4.25%. Mais ce n’est qu’une posture politique puisqu’avec le traité dit simplifié ce même Sarkozy propose de continuer cette politique qui tue notre croissance, handicape nos entreprise, accentue les délocalisations et finalement augmente le chômage partout en Europe.
Cette Europe aussi rigide et dogmatique que l’URSS en matière économique connaitra le même sort : un effondrement couteux pour les peuples.
Il faut, avant qu’il ne soit trop tard, écarter tous les parasites autoproclamés en charge de notre avenir collectif et restaurer la démocratie sur notre continent.
En Europe aussi, les peuples ont le droit de disposer de leur avenir !